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Natura 2000Life

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Los controles y las actividades de estudio sobre la fauna, en las zonas gestionadas, tienen una valía significativa para la protección y la salvaguarda del patrimonio natural de la isla.

Las especies silvestres son difíciles de someter a muestreo y cualquier conteo tiene que ser considerado como una estimación aproximada del número real de los animales presentes.

Factores importantes que contribuyen a la estimación numérica de la fauna silvestre son:
- características morfológicas y eco-etológicas de las diferentes especies (movilidad, ritmos de actividad, etc.);
- la densidad de población y la distribución de los animales en el hábitat;
- la conformación de las zonas que se tratan.

En lo que respecta los tipos de conteo se puede distinguir entre:
- censos exhaustivos (conteo completo de los animales presentes en una determinada superficie en un determinado momento);
- censos muestrarios (conteo completo en una porción representativa en una superficie dada y en un determinado momento);
- conteos por índices (recogida índices de presencia, expresados como valores relativos en unidades lineales o de superficie).

 

En lo qué respecta a la contabilidad, los censos pueden también ser:
- conteos directos en distritos subdivididos o sobre tira (observación presencial y simultánea por parte de varios encuestadores que operan en una unidad territorial definida, a lo largo de las vías prefijadas o desde ubicaciones fijas utilizando instrumentos ópticos adecuados);
- detección directas en un itinerario linear (los conteos se realizan a lo largo de itinerarios prefijados en un área de interés mediante diversos medios de velocidad constante);
- mapeo de los territorios: detección directos y indirectos a lo largo de itinerarios ecuo-distanciados en un área de interés. En una mapa se marcan una serie de visitas, los puntos en los que se ha detectada la presencia de los animales de las diferentes especies sobre la base de varias referencias; las observaciónes permiten de deducir la existencia de territorios y de áreas vitales;
- captura-marca–recaptura: se captura una pequeña porción de la población, se marca, se libera y siguiente se re-capturan las nuevas muestras contando los animales marcados.
- conteos directos: detección de los señales de presencia en las zonas de muestra como prueba indirecta de la presencia de ciervos, mediante también métodos acústicos como los sonidos característicos (el canto de los pájaros, el bramido, etc).

 

Le prochain 21 Mai a été célébrée la journée Européenne “Nature 2000”. En occasion de tel événement la Province d' Ogliastre a organisé quelques initiatives de promotion et éducation de l'environnement dans la Commune de Ulassai avec la double finalité de célébrer la Journée Européenne ainsi qu'informer la population du territoire au sujet des activités de tutelle et surveillance du cerf sarde et du sanglier sarde, projets qui sont développés à l'intérieur du “Réseau Nature 2000”.

La journée a commencé avec les activités d'éducation de l'environnement organisées par les opérateurs spécialisés de l'Ente Foreste (organisme qui s'occupe des forêts), où ont participé les enfants des écoles primaires de Ulassai. Nombreuses ont été les initiatives dédiées à la connaissance du cerf et de son habitat: le contact avec les cornes où bois du cerf, son pelage, reconnaissance des empreintes et de son cri (bramement), ainsi que des jeux sur son habitat. Les enfants ont pu ainsi connaître de plus près ce très beau animal qui habite nos forêts.

L'après-midi s'est déroulé le congrès du titre “Contrôle du Cerf elaphus corsicanus et Sus scrofa meridionalis dans l'oasis de protection faunistique de Taccu – Ulassai”, auquel ont participé différents experts du projet.

Le Docteur Carlo Garau (Province du Medio Campidano) a présenté le projet LIFE + Nature “Conservation of deer elaphus corsicanus in Sardinia and Corse” et les activités plus importantes que ce projet prévoit. Ensuite le Docteur Luciano Mandas (Ente foreste), en qualité de Vétérinaire du projet LIFE + Nature, a exposé les méthodologies de capture, surveillance et libération des cerfs aptes à la réintroduction en Corse et Sardaigne, ainsi que les résultats des analyses effectuées sur les cerfs capturés et sur les populations naissantes présentes en nature. Durant chaque phase du projet (recensement, capture, contrôle et réintroduction des exemplaires) on se prend soin des animaux afin qu'ils ne subissent aucun type de traumatisme: pour rejoindre cet objectif le projet prévoit des méthodes d’affouragement dans des zones stratégiques utiles pour comprendre la densité des populations et une successive étude préliminaire des nucléos de façon à éviter la séparation entre exemplaires du même groupe. La Doctoresse Pierangela Cabras a analysé les aspects sanitaires liés à la présence du cerf dans le territoire, mettant l'attention sur la collaboration entre les différentes parts intéressées de manière telle à éviter et limiter la diffusion de maladies. Les interventions de la Doctoresse Cabras et du Docteur Mandas ont permis de mettre en évidence que les cerfs objets des déplacements sont soumis à contrôles sanitaires beaucoup plus soignés par rapport à ceux en moyenne effectués sur les animaux domestiques. Les populations anthropiques qui vivent dans les territoires dans lesquels viennent transférés les cerfs n'ont donc aucun motif de préoccupation pour ce qui concerne l'introduction de maladies liées au transfert des animaux mêmes.

Enfin on à analysé l'impact que la faune sauvage a sur les cultures agricoles et zootechniques grâce aux approfondissements du Docteur Davide Brugnone (Département de l'environnement de la Région Autonome de la Sardaigne). Lequel a aussi présenté les statistiques mises à jour pour ce qui concerne les accidents de la route qui ont concerné la faune sauvage.

Durant toute la journée ont été fournies informations pour ce qui concerne les interventions effectuées dans le territoire de l'oasis faunistique “Taccu”, dans la commune de Ulassai. Le tout a été rendu plus explicatif grâce aux témoignages photographiques qui documentent les différentes phases des interventions.

Le cerf est une espèce polygame et s'accouple avec plusieurs femelles par année formant les harems.

La période des amours commence de fin août et se prolonge jusqu'à tout septembre, en Corse même jusqu'à fin octobre, les mâles en état de se reproduire, s'éloignent des plus jeunes et se déplacent vers les zones de reproduction, où ils s'accouplent avec les femelles qui s'y trouvent ( de 3 à 5). Ces territoires, qui restent les mêmes d'année en année, viennent « marqués » avec l'urine, sécrétions  glandulaires et écorcements des arbres.

L' harem vient signalé et défendu aussi à travers le bramement, typique cri des mâles reproducteurs, émit durant la saison des amours. Le bramement est fort, quelquefois bref souvent long et guttural, le cri des femelles est au contraire bref et semblable à un aboiement. Après une grossesse d'environ 32 semaines, de moitié avril à moitié juin, les femelles mettent au monde un petit qui vient nourri pour trois – quatre mois.

Dans le domaine d'un programme d'introduction en nature d'exemplaires de Cerfs sarde, il est nécessaire douer les animaux (qui seront libérés dans une certaine zone) de système de surveillance de leur position, capable d'en évaluer la dispersion et la survie dans le territoire. Le contrôle radio-télémétrique est donc une partie intégrante et fondamentale de n'importe quel programme de libération en nature, parce qu'il permet de mettre en évidence les problèmes critiques (braconnage, accidents de la route, etc) et dispersion des animaux introduits (abandon des zones de libération).

Les informations obtenues de cette façon peuvent être ensuite utilisées pour étudier les actions nécessaires à limiter les dommages, grâce au majeur contrôle de la zone d'introduction.

Il est donc évident que la valeur du contrôle radio-télémétrique est majeure si appliquée tout de suite aux animaux qui seront libérés, alors qu'une application tardive où partielle de cette technique fait perdre efficacité au contrôle.

Les soi-disant Colliers-Radio sont en matériel plastique, ils ont un poids important (dans l'ordre d'un kilogramme) mais tel de ne pas gêner les exemplaires adultes auxquels ils sont exclusivement appliqués.

Ils ont en outre un profil tel de s'adapter à la morphologie du cou des animaux adultes (qui ne se développera pas ultérieurement avec grossissement où croissance, comme il se passe chez les jeunes individus.

Les colliers-radio permettent d'appliquer au cerf un dispositif radio-émetteur sur les fréquences satellitaires, à basse intensité, mais suffisantes pour le contrôle des positions. Par GPS. Le collier-radio est évidemment doué de batterie, pour pouvoir garantir la traçabilité ( la transmission des données GPS) même pour quelques années. Un collier-radio peut activer en outre un dispositif électro-mécanique qui permet de décrocher le collier, au terme du contrôle, de façon indolore et à distance, libérant l'animale, du fardeau sans besoins d'autres interventions humaines.

Les cornes, présentes seulement chez le mâle, viennent nommées « bois », « armure », « trophée », elles diffèrent de celles du cerf européen pour les dimensions, rejoignant une longueur maximum de 70 cm et un poids d'environ 1 kg par tige par rapport aux outre 8 kg de l'espèce nominale. Les ramifications résultent plus simples, il y a en général 4 où 6 pointes contre les 16 – 24 du cerf européen. Elles sont dépourvues de la caractéristique couronne, alors que la partie terminale de la tige présente une formation élargie et tendant à s'aplatir, jusqu'à donner une forme finale à fourche. Elles viennent perdues pendant la période comprise entre moitié février et moitié mars, ensuite, après 1-2 semaines, elles repoussent et leur formation est complète vers la moitié de juillet. Dans la phase de néo-formation, les cornes sont revêtues d'un tissu cutané très vascularisé dit « velours », qui à la fin du développement se sèche et vient éliminé au moyen de frottement sur les arbres et arbustes.

 

Il existe deux hypothèses sur l'origine du Cerf sarde-corse.

Dans la première, on estime qu'un petit groupe de cerfs provenant de l'Italie, a rejoint les deux îles pendant la période de majeur régression marine durant la la glaciation würmienne. En effet, à l'époque la Sardaigne et la Corse formaient un bloc unique et le passage aurait pu avoir lieu à travers l'archipel de la toscane duquel le nord de la Corse était séparé par un bras de mer étroit avec eaux peu profondes et calmes, où il était facile passer à gué.

Dans la seconde hypothèse, on estime possible l'importation opérée par l'homme peut être en époque préhistorique, au moins pour ce qui concerne la Sardaigne, et plus tard en Corse durant la domination romaine, et une évolution rapide du Cervus elaphus vers la sous-espèce endémique Cervus elaphus corsicanus. En Sardaigne il était présent et communément chassé dans la III phase de l'époque nuragique (1260 – 900 a.C.) où peut être déjà dans la II (1500 – 1260 a.C.). Successivement il a été introduit en Corse, où de la Sardaigne où du continent, les premiers fossiles retrouvés sur cette île remontent au VI siècle (Castellu).

Nature 2000 est le réseau de zones naturelles protégées de l'UE instituée dans le cadre de la directive Habitat du 1992, dont l'objectif est la tutelle des principales zones naturelles et de la faune européennes. Il comprend des Zones Spéciales de Conservation (ZSC), désignées par les États membres conformément à la directive Habitat, et des Zones de Protection Spéciale (ZPS) désignées par les États membres conformément à la directive Oiseaux du 1979. La création de ce réseau de zones protégées, où sont prises mesures spéciales pour conserver la diversité biologique, satisfait d'autre part une claire exigence communautaire dans le cadre de la Convention des Nations Unies sur la  diversité biologique.

Une menace est un facteur (interne où externe à l'habitat) qui altère les possibilités de survie, les réduisant au point de menacer l’existence même de l'espèce. Une espèce sous tutelle, peut jouir d'une tentative d'élimination où atténuation des menaces de la part de l'homme, et d'une majeur attention vers les individus.

Les principales causes qui ont porté à la diminution du Cerf sarde-corse et à l'extinction locale de l'espèce dans la majeur part de la Sardaigne ( et totalement de la Corse) ont été:

1) Le déboisement sans discernement des forêts,

2) L'excessif prélèvement relatif à la chasse

3) Les incendies et la diffusion de l'élevage des animaux domestiques.

Tout cela a déterminé deux conditions particulièrement dangereuses pour la conservation de l'espèce:

1) La fragmentation de l'habitat adapte.

2) La réduction de la consistance des populations.

Les petites populations sont portées à graves pertes de fitness  (bien-être physique) et de potentiel évolutif, assez pour pouvoir être sujet à extinction, à brève où longue période. Dans les populations isolées la dérive génétique est plus intense, du moment que chaque génération porte seulement une fraction du pool génétique total de la génération précédente: ce procès est la cause d'une augmentation d' homozygotes et de la graduelle perte de variabilité génétique, indépendamment des procès concomitants de sélection et mutation.

Il ne faut pas négliger, en outre, deux autres facteurs de menace pour l'espèce: le conflit entre la tutelle de la faune et les activités anthropiques et l'absence de coordination pour la tutelle de l'espèce:

1) Conflit entre tutelle de la faune et activités anthropiques

L'évolution des dernières décennies a modifié radicalement le cadre faunistique-environnemental et le conteste socio-économique des populations. L'explosion démographique et territoriale des ongulés et le passage à une agriculture intensive et caractérisée aussi par des cultures de valeur, a produit de nouvelles formes de conflit et des nouveaux protagonistes. Le Cerf souvent entre en conflit avec les activités anthropiques, soit pour les dommages qu'il provoque à l'agriculture, soit pour les risques qu'il provoque au trafic des véhicules et à la sécurité des citadins.

2) Absence de coordination pour la tutelle de l' espèce.

 L'absence de coordination de l'espèce, à niveau global d'habitat, met la sous-espèce sarde – corse dans un statut de non homogénéité dans la prédisposition des interventions de tutelle. Les régions transfrontalières n'ont jamais dirigé les efforts de tutelle de chaque État à niveau individuel vers un plan international de tutelle qui soit projeté pour résoudre les problèmes à long terme.

 

Dans la mythologie classique le cerf était considéré sacré à Artémis grecque et à la déesse romaine de la chasse, Diane, représentée avec à côté des statues de cerf et  les guerres, les épidémies de peste et les châtiments se passaient en relation aux abattages de biches sacrées à la déesse. Dans l' Elide on célébrait les fêtes “ Elafi” durant lesquelles venaient offerts en sacrifice aux divinités païennes des cerfs où, en leur absence, d'autres objets avec la forme de cerfs dénommés Elafi. Dans la quatrième de ses fatigues, Hercule réussit à capturer, après une année de poursuite, la fameuse biche de Cérynie, qui avait les cornes en or et les pattes en bronze et qui vivait sur le mont homonyme, en Arcadie.

Dans quels territoires survit le Cervus elaphus corsicanus? Quelles sont les zones de distribution des individus et combien de km ils couvrent avec leurs déplacements? En répondant à ces demandes, on définit la distribution de l'espèce. La distribution est toujours évaluée (de façon plus où moins précise selon la méthode utilisée et les années de surveillance effectuées)

De suite sont indiqués les estimations de présence actuelle du cerf en Sardaigne obtenues à travers recensements effectués par l'Ente Foreste de la Sardaigne (Organisme qui s'occupe des forêts) et par l'Institut Supérieur pour la Protection et la Recherche environnementale (ISPRA):

                                                                                                                                                                  

1. Sulcis 2075 animaux (15046 ha);

2. Sarrabus 1175 animaux (5471 ha);

3. Montimannu (Villacidro) 275 animaux (1490 ha);

4. Villasalto 240 animaux (1245 ha);

5. Arburese (SIC M. Campidano) 2700 animaux (12977 ha);

6. Laconi 40 animaux (1598 ha);

7. Usellus 60 animaux (1472 ha);

8. Pabarile 60 animaux;

9. Ulassai 35 animaux (2355 ha);

10. Montarbu 80 animaux (2700 ha);

11. Urzulei 20 animaux;

12. M. Lerno 415 animaux (3000 ha);

13. M. Olia 205 animaux (4157 ha).

Pour la Corse la distribution estimée du Parc Naturel Régional de la Corse associée avec le groupe “Grands Ongulés” (ONCFS,ONF,OEC, Université de Corse) est par contre la suivante:

1. Alta Rocca (Vallée de Quenza et basse vallée Cuscionu), 300 animaux (12000 Ha);

2. Deux sorru (Letia - Guagnu),185 animaux (11000 ha);

3.Fium'Orbu (Chisà_plaine orientale), 220 animaux (7200 ha);

4. Moltifau/Castifau, 70 animaux (5340 ha);

5. Venacais, 75 animaux (2900 ha);

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