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Natura 2000Life

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Il recinto si trova ad 800 metri d'altitudine, nel comune di Quenza (Alta Rocca) e la sua superficie è di 11 ettari. 

Il recinto si trova a 500 metri d'altitudine, nel comune di Serra di Fium'orbu, e la sua superficie è di 15 ettari. 

Il recinto è vicino al mare, nel comune di Aléria (pianura orientale della Corsica) e la sua superficie è di 19 ettari. 

Il y a deux hypothèses sur l’origine du cerf corso-sarde, le plus grand mammifère terrestre de Corse et Sardaigne.    Pour la première, on estime qu’un petit groupe de cerfs d’Italie, est atteint les deux îles grâce à la régression du niveau marin durant la glaciation de Wurm. En fait, à l’époque la Corse et la Sardaigne formaient un unique bloc, le passage à pu être effectué à travers l’archipel Toscan, via le Nord de la Corse qui a été séparé par une étroite bande de plage aux eaux peu profondes et calmes, facilement empruntables.

Seconde hypothèse, l’importation possible par l’homme peut être dès l’époque préhistorique, du moins concernant la Sardaigne et plus tard, dans l’antiquité pour la Corse, notamment sous la domination Romaine, entrainant une évolution rapide du Cervus elaphus vers la sous-espèce endémique Cervus elpahus corsicanus.   En Sardaigne, il était existant et communément chassé durant la phase II de l’âge nuragique (1260-900 avant J-C) ou peut-être déjà en II (1500 – 1260 avant JC). Plus tard, il a été introduit en Corse, via la Sardaigne ou le continent, les premiers fossiles trouvés sur l’île remontent au VI ème siècle (Castellu). 

La sous-espèce est présente seulement en Corse et Sardaigne.

Jusqu’au XIXe siècle, certains auteurs la décrivent comme commune est abondante. Au début du XXe siècle elle occupait tous les massifs montagneux de Sardaigne, désormais d’une densité réduite.  En Corse la plupart des grands massifs et zones de plaines étaient occupés également. En conséquent, la fragmentation et la réduction drastique considérable de l’habitat due à la déforestation, les incendies pastoraux, en concomitance première avec la chasse et un braconnage intensif, réduisirent son territoire en 1950 à seulement 3 zones Sardes distinctes (Arburese, Sulcis, Sarrabus).     Au cours de la meme période, en Corse également, une chasse incontrolée couplée à un braconnage intensif contribuèrent à la réduction massive de la popualtion. Dès les années 30 le cerf Corso-sarde n’est présent plus qu’en plaine orientale. Durant la seconde guerre mondiale il y eut  une ultérieure baisse de la population mais c’est surtout le passage à la viticulture intensive après la guerre, caractérisé par de grandes ouvertures du milieu et le drainage des zones humides qui limitait considérablement le domaine vital du cerf. En 1950 subsiste un ultime petit noyau dans le domaine forestier de Pinia, au Sud de l’étang d’Urbinu. En 1958 il restait seulement 8-10 animaux, 7 ans plus tard seulement 2 cerfs, 2 biches et un daguet.

Le dernier cerf de Corse fut tué en 1969 à Pinia, la sous-espèce disparut de Corse.    Dans les années’60 la population sarde a été estimée entre 80 et 100 animaux, réparties entre les deux principales aires de répartitions, la zone occidentale de Cagliari Ouest (Capoterra) et orientale (Sette fratelli), mettant en évidence aussi une toute petite population disloquée dans la partie Nord du Sulcis (Montevechio).

A la fin des années ’60, le cerf corso-sarde est inclu dans le livre rouge des données de l’IUCN parmi les espèces les plus menacées de la planète. En 1969 il s’éteint en Corse, en dépit de plusieurs tentatives de sauvetage.   Pendant plusieurs décennies, en Sardaigne, il y eut une augmentation significative des populations in natura (Arburese, Sulcis, Sarrabus), et grace à divers interventions de la Sardaigne, dans les années ’80 ont étés crées de nouvelles populations au FF.DD. di Montimannu (Villacidro) ainsi qu’au Monte Lerno (Pattada).

Entre les années 80 et 90, 14 spécimens furent transférés de Sardaigne en Corse dans des enclos d’élevages situés à Quenza et Casabianda et ensuite par ce dernier à l’ enclos d’Ania-di-Fium’orbu.    Depuis 1998, les animaux sont progressivement relâchés dans la nature (9 opérations de lâchés réalisées, 239 animaux relâchés en 14 ans). Actuellement la sous-espèce est répartie sur 5 territoires : L’Alta Rocca, le Fium’Orbu, le Venacais, Moltifau / Castifau et les Deux sorru.    Les données suivantes indiquent l’estimation des populations de cerfs par secteurs et la surface en hectares des aires de répartitions obtenus grace à des recensements effectués par “l’Ente Foreste della Sardegna”, par l’Institut Supérieur pour la Protection et la Recherche Environnementale (ISPRA) en Sardaigne et par le Parc Naturel Régional en Corse associé aux partenaires du groupe “Grands ongulés” (ONCFS,ONF,OEC,Università di Corsica).

Les principales causes qui ont conduit à la raréfaction du cerf corso-sarde ainsi qu’à l’extinction locale de l’espèce dans la majeure partie de zones de Sardaigne et définitivement en Corse sont :

  1. Le déboisement aveugle et non contrôlé de la foret,
  2. Une pratique de la chasse intensive, 
  3. Les incendies et la passage à l’agriculture et l’élevage d’animaux domestiques.

Cela a déterminé deux conditions particulièrement dangereuses pour l’espèce :

  1. La fragmentation d’un habitat adapté,
  2. La réduction de la taille des populations.

Les petites populations sont sujettes à de graves problèmes de survie et de potentiel évolutif, pouvant être sujette à l’extinction dans le court ou long terme. Dans les populations isolées la dérive génétique est plus intense, puisque chaque génération porte seulement une fraction du patrimoine génétique total de la génération précédente ; ce processus est la cause d’une augmentation de l'homozygotie et de la perte graduelle de la variation génétique, indépendamment des processus concomitants de sélection et de mutation.

Il y a une corrélation directe entre l’hétérozygotie et le bon état d’une population, une baisse de l’hétérozygotie provoque une baisse progressive du bon état des populations. Effet fondateur, l’isolement prolongé et de faibles taux de flux génétique peuvent réduire la diversité génétique et le potentiel d’adaptation, tout en augmentant la consanguinité et la probabilité d’extinction de la de l’espèce colonisatrice.

A ne pas exclure également, deux autres facteurs de menace pour l’espèce, le conflit entre la protection de la faune sauvage et les activités anthropiques ainsi que le manque de coordination pour la protection des espèces.

  1. Conflit entre protection de l’espèce et activités anthropiques

La tendance des dernières décennies a radicalement modifié le cadre faunistique-environnementale et le contexte socio-économique des populations. L’explosion démographique des ongulés et le passage à une l’agriculture intensive pour produire des cultures de qualité, à produit de nouvelles formes de conflits entre nouveaux acteurs de l’environnement.

Le cerf entre souvent en conflit avec les activités humaines, tant pour les dommages causés aux plantations agricoles qu’au risque de collisions avec les véhicules en traversant les axes routiers menaçant la sécurité des citoyens.

  1. Manque de coordination pour la protection des espèces

Le manque de coordination autour de l’espèce, au niveau globale de l’habitat, place la sous-espèce

Corso-sarde dans un statut non homogène dans la prédisposition des mesures de protection.

Les régions transfrontalières n’ont  eu de cesse de prendre des mesures de protection de la plus petite échelle d’intervention jusqu’au niveau internationale qui sera sollicité pour résoudre les problèmes sur le long terme.

La sous-espèce est classée comme «particulièrement à protéger» par la loi italienne (loi 57/92) et la législation sarde (loi 23/98). La chasse est interdite dans les deux îles. L’espèce est strictement protégée en vertu de l’annexe II de la convention de Berne et se trouve dans les annexes II et IV de la directive Habitat faune-flore de l’Union Européenne comme une espèce prioritaire (92/43 CEE).

En revanche la situation est bien différente pour la Corse ou un réel vide juridique subsiste depuis des décennies autour de l’espèce. En effet, aucune loi que ce soit au niveau national ou régional ne fut créée pour renforcer la protection autour de cette sous-espèce endémique. Un simple arrêté préfectoral est reconduit chaque année caractérisé par un plan de chasse zéro. Car au niveau de la France les documents d’orientation cynégétiques ne dissocie pas la sous-espèce insulaire du cerf élaphe continental, de ce fait celle-ci figure en espèce « gibier » mais non chassable.

Les partenaires du projet LIFE sont engagés depuis quelques temps dans la conservation de l’espèce.

La province de Medio Campidano a financé des zones de pâturages afin de fournir du fourrage au cerf pour les éloigner des parcelles agricoles. Chaque année la province rembourse aux exploitants agricoles les montants de dommages causés par les cerfs. Il a été installé également une signalétique « faune sauvage » dont le but est d’avertir les automobilistes qu’ils traversent des zones ou le cerf est présent. D’autres systèmes de dissuasion ont été aménagés (dissuasion acoustique, clôtures électriques) dans certaines zones pour empêcher les cerfs de traverser les axes routiers.

L’Ente Foreste Sardegna a aménagé (dans le cadre du projet Cervo sardo, initié par l’Azienda Foreste Demaniali Regione Sardegna) une série de zones faunistiques d’élevages favorable à la sous-espèce avec le but de donner naissance à de nouveaux noyaux de populations pour réaliser de succéssives opérations de ré introduction in natura. L’Ente effectu depuis 1986 le recensement de populations de cerfs dans les territoires gérés.

Le Parc Naturel Régional de Corse depuis 1985, collabore avec les autorités nationales françaises compétentes pour la protection du cerf. Le Parc poursuit son travail d’élevages de cerfs en semi-liberté dans les 3 enclos, les opérations de ré introductions et ses missions de suivis. Il poursuit la mise en œuvre durable d’une politique relative à la protection des espèces sauvages et de leurs habitats. Le Parc est membre actif en Corse du groupe de gestion « Grand ongulés de Corse ».

Dans les programmes de gestion antérieure menés sur le cerf en Sardaigne,  ont été réalisé des enquêtes par sondage auprès des populations (ISPRA) pour évaluer l’attitude et le ressenti des personnes autour des différentes hypothèses de gestion du cerf, ainsi qu’une série de rencontres et de réunions publiques  précédant une opération de ré-introduction du cerf en Ogliastra. 

La sous-espèce est présente seulement en Corse et Sardaigne.

Jusqu’au XIXe siècle, certains auteurs la décrivent comme commune est abondante. Au début du XXe siècle elle occupait tous les massifs montagneux de Sardaigne, désormais d’une densité réduite.  En Corse la plupart des grands massifs et zones de plaines étaient occupés également. En conséquent, la fragmentation et la réduction drastique considérable de l’habitat due à la déforestation, les incendies pastoraux, en concomitance première avec la chasse et un braconnage intensif, réduisirent son territoire en 1950 à seulement 3 zones Sardes distinctes (Arburese, Sulcis, Sarrabus).

Au cours de la meme période, en Corse également, une chasse incontrolée couplée à un braconnage intensif contribuèrent à la réduction massive de la popualtion. Dès les années 30 le cerf Corso-sarde n’est présent plus qu’en plaine orientale. Durant la seconde guerre mondiale il y eut  une ultérieure baisse de la population mais c’est surtout le passage à la viticulture intensive après la guerre, caractérisé par de grandes ouvertures du milieu et le drainage des zones humides qui limitait considérablement le domaine vital du cerf. En 1950 subsiste un ultime petit noyau dans le domaine forestier de Pinia, au Sud de l’étang d’Urbinu. En 1958 il restait seulement 8-10 animaux, 7 ans plus tard seulement 2 cerfs, 2 biches et un daguet.

Le dernier cerf de Corse fut tué en 1969 à Pinia, la sous-espèce disparut de Corse.

Dans les années’60 la population sarde a été estimée entre 80 et 100 animaux, réparties entre les deux principales aires de répartitions, la zone occidentale de Cagliari Ouest (Capoterra) et orientale (Sette fratelli), mettant en évidence aussi une toute petite population disloquée dans la partie Nord du Sulcis (Montevechio).

A la fin des années ’60, le cerf corso-sarde est inclu dans le livre rouge des données de l’IUCN parmi les espèces les plus menacées de la planète. En 1969 il s’éteint en Corse, en dépit de plusieurs tentatives de sauvetage.

Pendant plusieurs décennies, en Sardaigne, il y eut une augmentation significative des populations in natura (Arburese, Sulcis, Sarrabus), et grace à divers interventions de la Sardaigne, dans les années ’80 ont étés crées de nouvelles populations au FF.DD. di Montimannu (Villacidro) ainsi qu’au Monte Lerno (Pattada).

Entre les années 80 et 90, 14 spécimens furent transférés de Sardaigne en Corse dans des enclos d’élevages situés à Quenza et Casabianda et ensuite par ce dernier à l’ enclos d’Ania-di-Fium’orbu.

Depuis 1998, les animaux sont progressivement relâchés dans la nature (9 opérations de lâchés réalisées, 239 animaux relâchés en 14 ans). Actuellement la sous-espèce est répartie sur 5 territoires : L’Alta Rocca, le Fium’Orbu, le Venacais, Moltifau / Castifau et les Deux sorru.

Les données suivantes indiquent l’estimation des populations de cerfs par secteurs et la surface en hectares des aires de répartitions obtenus grace à des recensements effectués par “l’Ente Foreste della Sardegna”, par l’Institut Supérieur pour la Protection et la Recherche Environnementale (ISPRA) en Sardaigne et par le Parc Naturel Régional en Corse associé aux partenaires du groupe “Grands ongulés” (ONCFS,ONF,OEC,Università di Corsica).

Pour  la CORSE 

la répartition est la suivante:

1. Alta Rocca (Vallée de Quenza et basse vallée Cuscionu), 300 capi (12000 Ha);

2. Deux sorru (Letia - Guagnu), 185 capi (11000 ha);

3. Fium'Orbu (Chisà_plaine orientale), 220 capi (7200 ha);

4. Moltifau/Castifau, 70 capi (5340 ha);

5. Venacais, 75 capi (2900 ha);

Pour  la SARDAIGNE

1. Sulcis 2075 capi (15046 ha);
2. Sarrabus 1175 capi (5471 ha);
3. Montimannu 275 capi (1490 ha);
4. Villasalto 240 capi (1245 ha);
5. Arburese (SIC M. Campidano) 2700 capi (12977 ha);
6. Laconi 40 capi (1598 ha);
7. Usellus 60 capi (1472 ha);
8. Pabarile 60 capi;
9. Ulassai 35 capi (2355 ha);
10. Montarbu 80 capi (2700 ha);
11. Urzulei 20 capi;
12. Monte Lerno 415 capi (3000 ha);
13. Monte Olia 205 capi (4157 ha).

Le Cervus elaphus corsicanus se distingue de l'espèce nominale européenne par quelques caractères morphologiques comme adaptation aux conditions d'insularité.

Les dimensions du corps sont inférieurs par rapport à celles du cerf européen.
Le mâle rarement rejoint un poids de 130 kg avec une hauteur au garrot de 100 cm alors que la femelle ne dépasse pas les 70-80 kg de poids et les 80 cm de hauteur.

Le corps est mince et élégant avec tronc allongé, épaules arrondies et musclées, poitrine large et dos droit.
Le cou est long et fin, la tête est de forme triangulaire allongée et termine avec un museau nu.
Les oreilles sont très grandes, les yeux sont ovales, grands et expressifs, avec évidentes fosses lacrymales.
De ces dernières vient sécrété un liquide onctueux et odorant qui sert pour marquer le territoire.
Les arts plutôt courts, sont minces mais très forts.
Le pelage est lisse, épais et soyeux avec une coloration à la tendance plus foncée par rapport au cerf rouge; en été il est brun-rougeâtre, en hiver il est plus foncé et tend au gris brun; présente en outre une rayure noirâtre, particulièrement évidente en été, qui va de la tête à la racine de la queue.

Chez le mâle adulte la partie inférieure du cou est recouverte par un pelage épais et foncé appelé crinière. Le pelage pommelé est une caractéristique des seuls faons.

La mue se passe deux fois par année, au printemps (avril) et en automne (septembre). Les cornes, présentes seulement chez le mâle, viennent appelées “bois”, “armure”, “trophée”, ils diffèrent de celles du cerf européen par les dimensions qui rejoignent une longueur maximum de 70 cm et un poids d'environ 1kg par tige, par rapport aux outre 8 kg de l'espèce nominale.
Les andouillers (ramification des bois du cerf) résultent plus simples, il y à généralement 4 où 6 pointes contre les 16 – 24 du cerf européen. Ces extrémités sont dépourvues de la caractéristique couronne, alors que la partie terminale de la tige présente une formation élargie et à la tendance à s'aplatir, jusqu'à donner une forme finale à fourche.
Les cornes viennent perdues pendant la période comprise entre moitié février et moitié mars, ensuite, après 1-2- semaines, elles repoussent et leur formation est complète vers la moitié de juillet. Dans la phase de néo-formation, les cornes sont revêtues d'un tissu cutané très vascularisé appelé “velours”, qui à la fin du développement se sèche et vient enlevé au moyen de frottements sur les arbres et arbustes.

L'espèce est considérée “intermédiaire” entre les “animaux qui broutent” et les “animaux de pâturage”, par rapport au daim qui à tendance plus distinguée vers les “animaux qui broutent” elle vit dans les forêts où il y à le maquis méditerranéen, clairières. L'espèce souffre les inclinaisons eccessives du terrain et l'élevée formation rocheuse. Elle se nourrit soit de plantes herbacées, graminées, légumineuses, cardons et ronces, que des arbustes du maquis méditerranéen, dont l'espèce use écorcer les branches (“frottements”).

Le cerf est une espèce polygame et s'accouple avec plusieurs femelles par année constituant les harem. La période des amours commence à partir de la fin du mois d'août et se poursuit jusqu'à tout le mois de septembre, les mâles en condition de se reproduire, s'isolent des plus jeunes et se déplacent dans les zones de reproduction, là il s'accouplent avec les femelles qui s'y trouvent (de 3 à 5). Ces territoires, qui restent les mêmes d'année en année, viennent “marqués” avec l'urine, sécrétions des glandes et écorcements des arbres.
L'harem vient signalé et défendu même à travers le bramement, typique cri des mâles reproducteurs, émis durant la saison des amours. Le bramement est fort, quelquefois bref, souvent long et guttural, le cri des femelles est au contraire bref et semblable à un aboiement.
Après une grossesse d'environ 32 semaines, de la moitié d'avril à la moitié de mai, les femelles mettent au monde un petit qui vient nourri pendant trois – quatre mois.
L'unité de base de la structure sociale du cerf, est constituée par la femelle avec le petit de l'année et la fille, “ bichette”( plus rarement le fils “daguet (de 1 à 2 ans)”) de l'année précédente.

Quelquefois ils se forment des troupes de femelles (10 – 12 individus, au maximum une vingtaine) guidés par la femelle plus vieille; les mâles d'âge supérieur à deux ans ont la tendance à s'unir en petits groupes où domine le mâle plus fort.

L’environnement  du Cervus elaphus corsicanus se compose d’arbustes et d’arbres de sous-bois épais du maquis Méditerranéen, de taillis, de bosquets de chênes vert, lièges et pubescents entrecoupés de zones semi-ouvertes, de clairières, de lits de cours d’eaux, d’espaces de pâturages etc.

Les grandes surfaces ininterrompues sont essentielles pour le cerf qui de ce fait ne colonise pas les zones réglementés, meme si elles sont boisées.

Principaux enclos de la faune dans les deux îles (pour les visites et les contacts)

Sardegna

Corse  du Sud

  • Quenza, 20 cerfs, altitude 800 metri, 11 He. Responsabile : Franchi Jérome 

Corse du Nord

  • Casabianda 35 cervs 19 He, Responsabile : Vittori Gilbert
  • Ania 30 cervs, altitude 400-500 metri, 15 He, Responsabile : Vittori Gilbert

Tutte le immagini pubblicate su questo sito provengono dal portale multimediale della Regione Sardegna (Sardegna Digital Library) ovvero sono state realizzate da uno dei soggetti Partner del progetto LIFE+ "One Deer Two Islands".

 

Le Immagini utilizzate per la testata  del sito provengono dal portale multimediale della Regione Sardegna (Sardegna Digital Library) estratte da:  questo sotto-insieme (vedi i metadati di riferimento per Autore, Luogo e data di scatto)

 

I video del Canale YouTube OneDeerTwoIslands sono prodotti dai partner di progetto, in Sardegna o Corsica, prevalentemente negli areali naturali del Cervus elaphus corsicanus ovvero nei territori interessati dalle attività di ri-popolamento.

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